mardi 17 septembre 2013

La Gogosphère en émoi



Lu il y a deux jours un commentaire sur un forum qui m'a fait hautement sourire.

Au débat vertueux des nonces de la pensée sécuritaire que relaie la populace aux abois, fusil au côté, taser chargé et talkie-walkie à la main, un coquin de la méchante gôche utopique rétorquait, à la dénonciation du laisser-faire de ces bobos des beaux quartiers qui ne connaissent la banlieue que par l’œil troublé d'un myope journaliste d'une chaîne publique et conséquemment révolutionnaire, qu'il y avait des bobos uniquement parce qu'il y avait des gogos toutes voiles dehors prêts à la moindre incartade pour peu qu'un grateux de la presse aéronautique soit présent et trempe sa plume dans les glandes lacrymales de la bienpensance lepeniste.

mardi 11 juin 2013

Twitter, peste brune et comparses



Il n'échappe à personne que Twitter a pris une grande importance sur le net quant à la transmission de l'information.


Nous sommes souvent confrontés à des messages qui nous semblent particulièrement intéressants et notre volonté de les partager occulte souvent leur provenance.
Pourtant, même s'il est estimable de rediffuser toutes sortes de contenu, le contenant est d'une importance capitale et si une majorité de personnes impliquées dans le militantisme y prend garde, il reste beaucoup de gens pour qui seule importe l'information.

vendredi 24 mai 2013

Louise Michel : "… voilà pourquoi je suis anarchiste"


9 janvier 2013 par florealanar

Le 9 janvier 1905, Louise Michel mourait, à Marseille, à l’âge de 75 ans.
Arrêtée le 24 mai 1871 à Paris, elle est condamnée à la déportation par un tribunal versaillais pour sa participation active à la Commune. Après vingt mois de détention à l’abbaye d’Auberive transformée en prison, elle est transférée, avec nombre de communards, en Nouvelle-Calédonie. Le voyage à bord du "Virginie" durera quatre mois.

dimanche 24 février 2013

MOITEUR...



L'humide Lulu de Numidie,

dans la rosée matinale, fuit et suit l'insondable avenir,

offert aux vents des tourments

qui,  de leurs mains crochues,  emportent jusqu'à son âme.

Âme d'amertume,  acide et haletante de désir, dévorant

jusqu'à la moindre fleur croisée sur le chemin,

au jardin d’Épicure, qu'envahissent lierres et chiendents.

Ton corps se serre et court encore et plus vite,

s'extrayant habilement des griffes qui l'agrippent.

Ta fuite s'évertue à hurler aux forêts et aux champs

tes mots de détresse, tes douleurs lancinantes,

mais aucun son ne sort ni ne vient perturber le chant de l'alouette.

Et la brise ondule les nuages,

l'horizon et les branches te chuchotent l'espoir

m'étreignant de leurs bras invisibles, leurs mains dans mes cheveux.

Tes pas ralentissent et s'ouvre en corolle,

ta victoire onirique sur le monde et ses pleurs

est l'aboutissement d'un long et dur labeur.


AnnaK & Dune de Fiel



mercredi 30 janvier 2013

De la Liberté


“Ce que tous les autres hommes sont m’importe beaucoup, parce que tout indépendant que je m’imagine ou que je paraisse par ma position sociale, dussé-je être pape, tsar ou empereur ou même premier ministre, je suis incessamment le produit de ce que sont les derniers d’entre eux; s’ils sont ignorants, misérables, esclaves, mon existence est déterminée par leur ignorance, leur misère et leur esclavage.

vendredi 28 décembre 2012

Les Véri-Tweets du 28/12/12


Il ne faut jamais se priver de dire, entre autres, certaines vérités économiques et sociales...


jeudi 27 décembre 2012

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme 1948

Préambule

Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’Homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’Homme,